Merci à tous ceux et celles qui régulièrement viennent rendre une petite visite sur mon blog, et même si ces visites ne sont pas nombreuses, c'est tout de même agréable de savoir que quelqu'un vous a lu.
Ce soir nous allons fêter l'anniversaire de ma belle-mère, et à cette occasion nous devrions aller au restaurant, Angélique a déjà demandé à son grand-père si l'on pourrait aller ailleurs que chez Flunch, je crois que c'est d'accord et nous devrions donc aller dans un vrai restaurant.
Aujourd'hui, le ciel est tout gris et la température relativement fraîche, çà annonce déjà on dirait les prémices de l'automne, on ne se plaint pas car par rapport au mois de juillet où c'était pour le moins insupportable, mais un petit brin de soleil serait le bienvenu.
Le thème de l'émission de radio que j'écoute en ce moment est "la pollution est-ce vraiment si dramatique", et si l'on en croit certains spécialistes, il semblerait que ce ne soit pas seulement l'activité humaine qui soit responsable du réchauffement que nous connaissons, mais de par le passé il y aurait déjà eu des réchauffements très rapides au niveau géologique, et paradoxalement au réchauffement si les calottes polaires fondent trop, cela pourrait entraîner une disparition du Gulf Stream du fait de la différence de densité de l'eau douce par rapport à l'eau salée et ce courant chaud coulerait au fond de l'océan et ainsi nous aurions en France des hivers polaires. Mais bon nous n'en sommes pas encore là.
Irak, Liban, chaque jour les médias nous annoncent les mêmes nouvelles tragiques, 40 morts par-ci, 20 par-là, et ce ne sont qu'explosions, bombardements, tirs de mortier, prises d'otages; on célèbre bien chaque année une journée sans voitures, une journée sans tabac, ne pourrait-il pas y avoir aussi une journée sans guerre, sans violence, mais bon, là c'est de l'utopie, certains hommes doivent avoir dans leurs gènes le besoin d'affronter leur prochain, de chercher à le détruire pour être le premier, le meilleur, le plus fort.
L'histoire du jour:
Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire se tient le long d'une autoroute de l'Alabama tentant de se protéger de la pluie battante.
Son auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d'un transport.
Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe.
Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux.
Le jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours et lui procure un taxi.
Elle a l'air très pressée, mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.
Sept jours plus tard, on vient cogner à la porte du jeune homme.
À sa grande surprise, on lui livre une télévision couleur grand format.
Une note y est attachée.
Elle dit :
" Merci beaucoup de m'avoir porté secours sur l'autoroute l'autre jour.
La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit.
Puis vous êtes arrivé.
Grâce à vous, j'ai pu me rendre au chevet de mon mari mourant juste avant qu'il ne rende l'âme.
Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres.
Bien à vous, Mme Nat King Cole.